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Le centre radicalement nouveau – la solution inespérée à la crise
Bonjour,
Après des mirages des élections, le temps des désillusions est arrivé.
La droite est perçue comme manipulatrice, dominatrice et inhumaine.
La gauche comme impuissante, trompeuse et déconnectée des réalités menant le pays droit au crache.
Le centre ? Pour moi, il faut se rendre à l’évidence le message du centre a été identifié, dans sa forme actuelle, par les électeurs comme n’ayant rien de nouveau et d’intéressant à offrir sinon les inconvénients des deux autres.
L’angoisse sournoise du crache commence à roder.
Les centristes d’une certaine façon la partie la plus consciente de la société, avec leur compréhension, avant-gardiste, pensent :
- qu’il n’est plus acceptable d’utiliser les recettes de la droite sans se soucier de l’aspect humain et solidaire de la politique,
- que l’on ne peut pas en même temps raconter des promesses inconsidérées , sans se soucier sérieusement de la santé économique, l’équilibre budgétaire et la compétitivité de notre pays.
Pourquoi les centristes n’arrivent-ils pas à percer ?
En fait, la réponse est simple : les électeurs de droite ne retrouvent pas dans la proposition du centre les avantages de la droite, mais uniquement sa vision bridée et compromise. Les électeurs de gauche ont la même perception en ce qui concerne la politique de gauche des programmes centristes. Proposer une alternative humaine aux équipes en place, sans un message novateur ne séduit plus personne.
Quelle conclusion en tirer ?
- Que pour être apprécié par l’ensemble de l’électorat, il faut pouvoir lui offrir des projets qui seraient autant 100% à droite que 100% à gauche en même temps, mais sans la tiédeur du compromis entre les deux.
- Qu’il faudrait que le centre, avec une telle synthèse, soit plus en avant que la droite ne l’est à droite et la gauche ne l’est à gauche en même temps, au lieu d’être un compromis mou des deux.
Que peut on espérer si le centre devient aussi avant gardiste ?
Et bien une synthèse des critères les plus caractéristiques entre les positions de la droite et de la gauche.
A savoir pour ceux de la droite: Plus de compétitivité, plus de rentabilité, moins d’impôts, le coût de travail le plus bas possible, diminution de charges sociales et charges de l’état, stimulation à la création d’entreprise …
Et pour ceux de la gauche : l’augmentation de salaires, plus du pouvoir d’achat, meilleurs qualité de service publique, protection des plus pauvres, justice sociale faisant payer plus les riches que les autres, développement de l’économie réelle plutôt que du revenu financier, l’augmentations des ressources de l’état.
Il suffit tout simplement de mettre ces critères en commun au lieu de les opposer.
Ce qui compte n’est pas de sortir la solution parfaite ou une somme complète de critères du premier coup, mais de percevoir petit à petit les critères manquants à une somme initiale ou à une première esquisse de proposition qui en serait une expression jusqu’à l’a satisfaction entière de tous les critères.
Mais comment donc concilier le postulat de « mois d’impôts et mois de charges » avec « meilleurs qualité de service publique et l’augmentations des ressources de l’état » ?
Quel genre de propositions, qui tenterait à devenir une synthèse de l’ensemble des critères évoqués peut-on alors espérer ? Voici l’exemple :
Que se passerait-il si l’état ou l’Europe, au lieu de donner des subventions pour la création d’activité ou à l’embauche, garantissait (comme pour la Grèce,) tout simplement par une Garantie d’Etat, le financement des entreprises, et en échange devenait l’actionnaire de la société soutenue, à la hauteur de la moitié du capital obtenu grâce à la garantie ?
Que se passerait-il si, après quelques années, on appliquant à l’Etat la logique d’un père de famille qui, toute en gagnant des actifs dans ces entreprises soutenues de « ses enfants », et à la force de percevoir les dividendes, réalisait qu’au lieu de taxer « ses enfants », il pouvait se mettre sérieusement (comme un père de famille responsable) à gagner de l’argent dont il a besoin pour payer les dépenses de « sa famille » qu’est la collectivité, au lieu de la « ponctionner ».
On pourrait peut-être payer la dette par les impôts dans un premier temps et puis devenir un état sans impôts et sans les charges sociales pourtant suffisamment riche pour augmenter la qualité des services sociaux (école, sante sécurité etc.) et des prestations (le chômage, la retraite etc.) par rapport à ce que l’on a aujourd’hui ?
Le plus important à cette endroit, est , au lieu de contester un quelconque aspects de ces propositions, de marquer les critères qui manqueraient à ces propositions et rectifier le cahier des charges avant de faire une proposition complétée encore et de plus en plus parfaite.
Il faut apprendre à réaliser des telles synthèses.
C’est précisément là où le bas blesse. Hormis les effets de charisme personnel du style de Tony Blair (idéal pour un leader centriste n’est ce pas ?) ou d’un Jean-Louis Borloo, qui le font quelque peu « au pif », personne ne savait le faire vraiment jusqu’à présent de manière méthodique.
Désormais la solution existe ! Le livre qui la présente est : « Consensus Sans Compromis – méthode de négociation et style de vie ».
Ce livre sort le 11 septembre 2012
Quelques d’autres esquisses de propositions politiques résultant de l’application de la logique du Consensus Sans Compromis sont disponibles sur la page « Applications politiques » du site du livre.
Cette méthode apprend à réaliser des synthèses d’apparentes contradictions et montre comment les réaliser sans recours aux concessions ou compromis.
La crise nous pousse à vite produire des projets qui non seulement nous mettront tous d’accord, mais encore serons une vraie solution efficace à cette crise.
Cordialement.
Aleksander Piecuch
PS. Éditions de Synergie annoncent la possibilité d’une pré-commande du livre. Pour toute pré-commande sur le site du livre, avant la sortie officielle le 11 septembre, un DEUXIÈME LIVRE EST OFFERT GRATUITEMENT.
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